Les Picassos sont... à Bâle!
C'est une belle exposition de peintures, dessins et sculptures de Picasso réalisée uniquement à partir de ceux de Bâle et de sa région, en souvenir de l'affaire des deux tableaux rachetés après une votation des citoyens de la ville en 1967,deux toiles magnifiques:
"les deux frères" au fond ocre et "l'arlequin assis" songeur et énigmatique.
A voir et revoir au Kunstmuseum, sans modération!
http://www.kunstmuseumbasel.ch/
Y aller aussi pour découvrir ces grands tableaux peints si vite qu'ils ont la fraîcheur de l'instantané comme celui où "Vénus joue avec Cupidon".
samedi 27 avril 2013
vendredi 19 avril 2013
vendredi 12 avril 2013
La face cachée de la lune... Pink Floyd revisited!
Ce soir à La Filature, ça vibrait et ça bougeait! Thierry Balasse et sa compagnie ont repris et joué en scène les grands thèmes du disque mythique de Pink Floyd.
Pour en savoir plus voir leur site : http://inouie94.free.fr
The Making of Dark Side of the Moon - Documentary.
Trouvé un documentaire où les Pink Floyd parlent de ce disque expérimental sur lequel nous avons tant dansé, plané rêvé...
Ce soir à La Filature, ça vibrait et ça bougeait! Thierry Balasse et sa compagnie ont repris et joué en scène les grands thèmes du disque mythique de Pink Floyd.
Pour en savoir plus voir leur site : http://inouie94.free.fr
The Making of Dark Side of the Moon - Documentary.
Trouvé un documentaire où les Pink Floyd parlent de ce disque expérimental sur lequel nous avons tant dansé, plané rêvé...
Près de Lisbonne, l'Océan Atlantique...
Ah! Voir l'Océan et imaginer Amérique comme l'on fait les Descobradores au XVI ème siècle!
Par chance en cette veille de Pâques, le temps était splendide, le soleil printanier a surpris les promeneurs venus du nord de l'Europe...
A quelques dizaines de kilomètres à l'ouest de Lisbonne, non loin de l'estuaire majestueux du Tage, enfin parait l'océan! Les petites villes balnéaires d'Estoril et de Cascaïs sur leurs falaises rouges et noires surplombent cette immensité aux couleurs changeantes. Le site le plus connu est la Boca do Inferno, la bouche de l'enfer, trou naturel dans la falaise à Cascaïs d'où l'eau sort avec fracas après chaque vague. Fascination des vagues déferlant et grimpant à l'assaut des rochers!
Ah! Voir l'Océan et imaginer Amérique comme l'on fait les Descobradores au XVI ème siècle!
Par chance en cette veille de Pâques, le temps était splendide, le soleil printanier a surpris les promeneurs venus du nord de l'Europe...
A quelques dizaines de kilomètres à l'ouest de Lisbonne, non loin de l'estuaire majestueux du Tage, enfin parait l'océan! Les petites villes balnéaires d'Estoril et de Cascaïs sur leurs falaises rouges et noires surplombent cette immensité aux couleurs changeantes. Le site le plus connu est la Boca do Inferno, la bouche de l'enfer, trou naturel dans la falaise à Cascaïs d'où l'eau sort avec fracas après chaque vague. Fascination des vagues déferlant et grimpant à l'assaut des rochers!
mardi 9 avril 2013
Le Bairro Alto à Lisbonne.
Le vieux quartier entre hier et demain...
Un monde en pente où pavés et escaliers mettent le promeneur à l'épreuve et où bien des maisons sont plus ou moins à l'abandon. Manque de moyens liés à la crise ou désintérêt de la part des dirigeants et des classes les plus aisées? Seul répit: Monter dans un "electrico" ou prendre l'"escalador" de la Bica!
Dans ce dédale de rues se trouve le petit hôtel où nous avons séjourné: "Casa do Bairro", au fond d'une impasse spéciale qui aboutit à un balcon sur une rue, 20mètres en contre bas, rue qui amène au Tage!
Nous avons aimé nous perdre dans ce vieux quartier, fréquenter de petits restaurants où l'on déguste des poissons frais délicieux, des bistros comme le "Flowers Power" surprenants de jeunesse, mélange d'innovation bio et de tradition culinaire lisboéte ou "O Povo", le peuple à l'ambiance feutrée.
Partout des jeunes vivants, ouverts, chaleureux, parlant français et anglais aisément, entrepreneurs courageux en ces temps d'austérité...
Et puis il y a les églises baroques, les monuments aux deux poètes du XVI ème siècle, Luis de Camoes et Chiado dont les tombeaux sont à Bélem...
Le vieux quartier entre hier et demain...
Un monde en pente où pavés et escaliers mettent le promeneur à l'épreuve et où bien des maisons sont plus ou moins à l'abandon. Manque de moyens liés à la crise ou désintérêt de la part des dirigeants et des classes les plus aisées? Seul répit: Monter dans un "electrico" ou prendre l'"escalador" de la Bica!
Dans ce dédale de rues se trouve le petit hôtel où nous avons séjourné: "Casa do Bairro", au fond d'une impasse spéciale qui aboutit à un balcon sur une rue, 20mètres en contre bas, rue qui amène au Tage!
Nous avons aimé nous perdre dans ce vieux quartier, fréquenter de petits restaurants où l'on déguste des poissons frais délicieux, des bistros comme le "Flowers Power" surprenants de jeunesse, mélange d'innovation bio et de tradition culinaire lisboéte ou "O Povo", le peuple à l'ambiance feutrée.
Partout des jeunes vivants, ouverts, chaleureux, parlant français et anglais aisément, entrepreneurs courageux en ces temps d'austérité...
Et puis il y a les églises baroques, les monuments aux deux poètes du XVI ème siècle, Luis de Camoes et Chiado dont les tombeaux sont à Bélem...
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