Et revoilà le temps des sucreries
et des Marchés de Noël...
mardi 21 décembre 2010
vendredi 17 décembre 2010
jeudi 16 décembre 2010
Mandalas
Par ces temps de repos forcé et de froidure, je me suis remise au coloriage de mandalas. Cela me détend et me recentre lorsque mon esprit gamberge un peu trop à mon goût , mes yeux fatigués de lire... Connaissez vous ces figures inscrites dans un cercle que les moines tibétains construisent avec des sables colorés dans un but de méditation joyeuse?
On trouve des mandalas à colorier sur le net , à télécharger gratuitement comme sur le site suivant:
http://ecolepourlesparents.over-blog.com/article-14259692.html
Mandala (मण्डल) est un terme sanskrit signifiant cercle, sphère, environnement, communauté,
Puisqu'il désigne avant tout l'entourage sacré d'une déité, il est encore préférable d'appeler yantra, les représentations plus stylisées. Le diagramme symbolique du mandala peut alors servir de support de méditation. Certains mandalas, très élaborés et codifiés, en deviennent semi-figuratifs, semi-abstraits.
(d'après Wikipedia)
samedi 11 décembre 2010
Stéphane Hessel : "Indignez-vous"
Stéphane Hessel a écrit "Indignez-vous!"
Connaissez vous ce vieux monsieur,dont le nouveau petit livre arrive en ce moment en tête des ventes...
Né à Berlin, le 20 octobre 1917, d'Helen Grund, fille d'un banquier prussien et protestant, et de l'essayiste et traducteur allemand Franz Hessel, membre d'une famille de la grande bourgeoisie allemande de souche juive polonaise, partiellement convertie au protestantisme luthérien, et qui fit fortune dans le commerce des grains. Franz, le père de Stéphane, se voue, dès son plus jeune âge, aux lettres, aux langues et à l'Antiquité grecque. Sa mère, Helen Grund-Hessel, qui dessine et peint, est l'héroïne ("Catherine") de Jules et Jim, le fameux roman de Henri-Pierre Roché [ (qui est "Jim"), l'ami de Franz Hessel, son père, (qui est "Jules") et amoureux, lui aussi d'Helen .
Il émigre en France avec ses parents et son frère aîné Ulrich en 1925, Stéphane est bachelier à 15 ans et reçu en 1937 à l'École normale supérieure et est simultanément naturalisé français, avant d'être mobilisé en 1939 à Saint-Maixent. Il épouse en 1939 Vitia, une jeune juive russe, interprète de conférences.
Prisonnier évadé en 1940, résistant lors de la Seconde Guerre mondiale, Hessel rejoint le Général de Gaulle à Londres en mai 1941, où il est affecté au BCRA. Fin mars 1944, il est envoyé en mission en France. Quelques mois plus tard, il est arrêté, déporté en Allemagne (train du 8 août), à Buchenwald, d’où il échappe à la pendaison après avoir échangé son identité avec celle de Michel Boitel ; puis à Dora, où il échappe aussi à la pendaison. Enfin, lors de son transfert vers Bergen-Belsen, il saute du train et parvient aux lignes américaines à Hanovre, d'où il est renvoyé à Paris.
Admis, en novembre 1945, au concours des Affaires étrangères, Stéphane Hessel fait toute sa carrière dans la diplomatie jusqu'en 1985, tout en étant, sous la IVe République, l'un des proches collaborateurs de Pierre Mendès-France, connu à Londres en 1943.
En tant que secrétaire, il assista aux séances de la rédaction de la Déclaration universelle des droits de l'homme en 1948, il écouta les rédacteurs – entre autres René Cassin, en sa qualité de chef de cabinet de Henri Laugier, le secrétaire général adjoint de l’ONU et secrétaire de la Commission des droits de l'homme des Nations unies – mais il n'a pas participé à cette rédaction.
Il devient ambassadeur de France à l’ONU, puis occupe divers postes de diplomate à Saïgon, Alger, Genève et New York, donnant de lui-même l'image d'un soutien inlassable à la défense des droits de l’Homme.
À l'arrivée de François Mitterrand au pouvoir, en 1981, Stéphane Hessel est élevé à la dignité d' « Ambassadeur de France ». Le Président lui confie plusieurs postes importants dont celui de représentant de la France à la Conférence mondiale des Nations unies sur les droits de l'Homme.
Il s'illustre encore en 1996, lorsqu'il devient le grand médiateur dans l'affaire très médiatisée des « sans papier » des églises Saint-Ambroise puis Saint-Bernard.
Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence. Il soutient, depuis sa création en 2001, le fonds associatif Non-Violence XXI.
A plusieurs reprises il a critiqué vivement l'attitude d'Israël en Palestine et protesté contre le blocus de Gaza.
Son dernier livre "Indignez vous!" porte en sous titre "pour une insurrection pacifique",est publié dans la collection « Ceux Qui Marchent Contre Le Vent », Montpellier, Indigène éditions, oct 2010. (D'après Wikipedia).
Connaissez vous ce vieux monsieur,dont le nouveau petit livre arrive en ce moment en tête des ventes...
Né à Berlin, le 20 octobre 1917, d'Helen Grund, fille d'un banquier prussien et protestant, et de l'essayiste et traducteur allemand Franz Hessel, membre d'une famille de la grande bourgeoisie allemande de souche juive polonaise, partiellement convertie au protestantisme luthérien, et qui fit fortune dans le commerce des grains. Franz, le père de Stéphane, se voue, dès son plus jeune âge, aux lettres, aux langues et à l'Antiquité grecque. Sa mère, Helen Grund-Hessel, qui dessine et peint, est l'héroïne ("Catherine") de Jules et Jim, le fameux roman de Henri-Pierre Roché [ (qui est "Jim"), l'ami de Franz Hessel, son père, (qui est "Jules") et amoureux, lui aussi d'Helen .
Il émigre en France avec ses parents et son frère aîné Ulrich en 1925, Stéphane est bachelier à 15 ans et reçu en 1937 à l'École normale supérieure et est simultanément naturalisé français, avant d'être mobilisé en 1939 à Saint-Maixent. Il épouse en 1939 Vitia, une jeune juive russe, interprète de conférences.
Prisonnier évadé en 1940, résistant lors de la Seconde Guerre mondiale, Hessel rejoint le Général de Gaulle à Londres en mai 1941, où il est affecté au BCRA. Fin mars 1944, il est envoyé en mission en France. Quelques mois plus tard, il est arrêté, déporté en Allemagne (train du 8 août), à Buchenwald, d’où il échappe à la pendaison après avoir échangé son identité avec celle de Michel Boitel ; puis à Dora, où il échappe aussi à la pendaison. Enfin, lors de son transfert vers Bergen-Belsen, il saute du train et parvient aux lignes américaines à Hanovre, d'où il est renvoyé à Paris.
Admis, en novembre 1945, au concours des Affaires étrangères, Stéphane Hessel fait toute sa carrière dans la diplomatie jusqu'en 1985, tout en étant, sous la IVe République, l'un des proches collaborateurs de Pierre Mendès-France, connu à Londres en 1943.
En tant que secrétaire, il assista aux séances de la rédaction de la Déclaration universelle des droits de l'homme en 1948, il écouta les rédacteurs – entre autres René Cassin, en sa qualité de chef de cabinet de Henri Laugier, le secrétaire général adjoint de l’ONU et secrétaire de la Commission des droits de l'homme des Nations unies – mais il n'a pas participé à cette rédaction.
Il devient ambassadeur de France à l’ONU, puis occupe divers postes de diplomate à Saïgon, Alger, Genève et New York, donnant de lui-même l'image d'un soutien inlassable à la défense des droits de l’Homme.
À l'arrivée de François Mitterrand au pouvoir, en 1981, Stéphane Hessel est élevé à la dignité d' « Ambassadeur de France ». Le Président lui confie plusieurs postes importants dont celui de représentant de la France à la Conférence mondiale des Nations unies sur les droits de l'Homme.
Il s'illustre encore en 1996, lorsqu'il devient le grand médiateur dans l'affaire très médiatisée des « sans papier » des églises Saint-Ambroise puis Saint-Bernard.
Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence. Il soutient, depuis sa création en 2001, le fonds associatif Non-Violence XXI.
A plusieurs reprises il a critiqué vivement l'attitude d'Israël en Palestine et protesté contre le blocus de Gaza.
Son dernier livre "Indignez vous!" porte en sous titre "pour une insurrection pacifique",est publié dans la collection « Ceux Qui Marchent Contre Le Vent », Montpellier, Indigène éditions, oct 2010. (D'après Wikipedia).
dimanche 5 décembre 2010
Ah! La terre de feu!
Au hasard de discussions , recherches sur internet sur les indiens Yaghans de la Terre de Feu et découverte de ces tribus disparues dans les années vingt , décimées par des épidémies, laminés par leur colonisation et leur christianisation forcées.
Voir le site: http://www.limbos.org/sur/yamanfr.htm
Et aussi: http://www.vialibre5.com/pages/page_chronamlat_2.htm
Et le livre du fils du premier missionnaire installé là bas et qui semble passionnant :
Au hasard de discussions , recherches sur internet sur les indiens Yaghans de la Terre de Feu et découverte de ces tribus disparues dans les années vingt , décimées par des épidémies, laminés par leur colonisation et leur christianisation forcées.
Voir le site: http://www.limbos.org/sur/yamanfr.htm
Et aussi: http://www.vialibre5.com/pages/page_chronamlat_2.htm
Et le livre du fils du premier missionnaire installé là bas et qui semble passionnant :
"Aux Confins de la Terre" de E. Lucas Bridges ( Editions Nevicata-2010)
Inscription à :
Articles (Atom)